Mères d’âme, de cœur, de lumière

Il y a des femmes qui enfantent le monde sans jamais avoir porté d’enfant.
Des femmes qui bercent avec les yeux, qui veillent avec le cœur, qui soignent par leur simple façon d’être là.

Il y a des mères de silence, des mères d’instinct, des mères de refuge.
Des femmes qui tiennent debout quand tout vacille.
Celles qui n’ont pas toujours de titre, mais dont l’amour laisse une empreinte éternelle.

Parfois, c’est une amie qui a su écouter.
Parfois, c’est une sœur qui a pris soin.
Parfois, c’est une âme croisée au bon moment, qui a tendu la main.

On peut être mère d’un rêve qu’on porte en secret, d’une guérison offerte en silence, d’un animal qu’on aime comme un enfant, d’un combat mené avec le cœur, ou d’un espace sacré où d’autres viennent simplement reprendre leur souffle.

Être mère, ce n’est pas une fonction.
C’est une vibration.
Celle qui porte, celle qui aime, celle qui ne compte pas.

Alors aujourd’hui, que les fleurs, les gestes, les silences même, soient pour elles.
Pour toutes celles qui aiment avec tendresse, avec feu, avec courage.
Pour toutes celles qui, d’une façon ou d’une autre, font naître la vie, la maintiennent, la réparent.

À vous toutes : merci !